Mausolée

Le Mausolée Saint-Germain :
temple de la mémoire

Jusque dans les années 1960, la crémation étant défendue, les Québécois étaient contraints d’opter pour la mise en terre traditionnelle des défunts. L’apparition des mausolées communautaires en terre québécoise concorde avec les débuts de l’autorisation de la crémation par l’Église catholique, en 1963.

Ce nouveau mode d’inhumation a amené la construction de columbariums, qui comprennent une série de petits compartiments où sont déposées les urnes recueillant les cendres des défunts.

À la fois sobre et lumineux, le Mausolée Saint-Germain demeure un important temple de la mémoire. Les éléments symboliques qui le composent représentent une source d'apaisement pour les visiteurs. Il s’agit d’un lieu de recueillement calme et inspirant où règne une atmosphère intime et rassurante.

Historique depuis 1994

À la suite de l’intégration des columbariums, les institutions funéraires ont ajouté à leurs installations des enfeus, soit des caveaux intérieurs servant de tombeaux. Les bâtiments qui renferment autant des enfeus que des columbariums portent aujourd’hui le nom de mausolées communautaires.

Les travaux de construction du Mausolée Saint-Germain ont été effectués en trois phases, de 1994 à 2013. Aujourd’hui, en plus des enfeus et des columbariums, ce mausolée comprend, entre autres, un crématorium, une chapelle, un salon de commémoration et deux salles de réception.